La gestion communiste de Givors depuis 1953
a fait de la ville une commune sinistrée !
Extrait de mon livre « Histoire politique de
Givors jusqu’à la chute ! (1953-2018 - Textes et documents) »
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Résumé : la politique communiste qui a dirigé la ville depuis 1953 : a appauvri les habitants (la moyenne des revenus par habitant est la plus faible du département !) – a désindustrialisé la ville (toutes les usines ont fermé : le taux de chômage y est le plus élevé dans le département, les usines ont laissé des terrains gravement pollués : arsenic, hydrocarbures, etc.) – a développé un urbanisme délirant (barres et tours de logements sociaux pour beaucoup obsolètes) – le commerce de centre-ville est mort, les rues du centre-ville sont fantomatiques – la jeunesse est en déshérence, le niveau scolaire est très bas, malgré les efforts des enseignants, le chômage endémique, la délinquance élevée…
Il est
intéressant de se rappeler les deux périodes de gestion financière de la
commune. Il y a eu la période Vallin et la période Passi
(évidemment !).
Les deux
périodes sont marquées par la même idéologie de « lutte des
classes » : « Il faut faire payer les riches »… Or il n’y a pas de riches à Givors, en dehors
des entreprises et encore il n’y en a
presque plus. On a donc écrasé et on écrase encore d’impôts locaux les petites
couches moyennes, celles qui ont économisé toute leur vie pour se construire
une petite maison et qui paient des fortunes en taxe d’habitation et foncier
bâti.
La période
Vallin : partant de ce principe Vallin a écrasé les entreprises sous
une taxe professionnelle (TP) battant tous les records au niveau national. Il
faut savoir qu’en 1982, juste avant l’écrêtement des taux de TP réalisé par la
loi, la TP à Givors avait un taux de 33% !!!!!
L’écrêtement s’est fait sur la base de deux fois la
moyenne nationale qui était alors de 12,5%, Givors s’est donc trouvée avec un
taux de 25 %, ce qui fut un souffle d’air pour les entreprises par rapport aux
33 %. Mais vous noterez que ce taux est quand même resté le double de celui de
la moyenne nationale. Le différentiel avec les 33% a été compensé par une
dotation de l’état (le fonds de compensation de la taxe professionnelle) que la
commune touche toujours, bien que fort dévalorisée).
Un autre aspect
de la loi a été de lier les taux de la TP et celui de la taxe d’habitation
(TH). L’excuse fut bonne de dire que l’on ne pouvait pas baisser le taux de la
TH sans baisser le taux de la TP, donc on ne baissait rien…
Il faut savoir
également que les dotations de l’État (notamment la dotation globale de
fonctionnement : DGF)
est basée sur l’effort fiscal et sur le potentiel fiscal :
plus une commune est pauvre (bas potentiel fiscal) et plus elle fait payer
d’impôts, plus elle touche de DGF…
Si Givors
a un faible potentiel fiscal, c’est dû essentiellement à la pauvreté de ses
bases locatives, celles qu’on multiplie par les taux pour avoir le
montant de l’impôt : elles sont calculées selon des critères nationaux
(surface du bâti, commodités, fenêtres, etc.) modulés par des critères locaux
de classement dans différentes catégories par la commission communale des
impôts. Cette faiblesse des bases locatives est le résultat d’une politique
volontariste de Vallin : la construction de milliers de logements sociaux
au rabais, à tel point, que par exemple, dès son élection en 1953, il ne s’est
pas du tout préoccupé d’urbanisme, mais de construire d’immenses cités avec de
très petits logements comme la cité Croizat, Yves Farges… Ce qui fait que les
locataires de ces logements ont une TH assez basse vu la petitesse de leur
valeur locative, bien que le taux de la TH soit très élevé. De plus, étant
pauvres ils sont souvent exonérés. Ainsi, les gens qui ont un logement
« normal » genre petite villa, ont, eux, une valeur locative élevée
et le même taux très élevé que les autres. Ainsi seulement 20 % de la
population paie les impôts locaux de Givors…
Même avec une
telle politique financière (car il s’agit bien de politique financière liée à
une politique de logement et d’aménagements type pays de l’Est…) Givors a connu
des difficultés financières.
La politique de
Vallin a toujours été une politique de surendettement de la commune ;
c’était le volontarisme stalinien : rien n’est impossible !
Avec un
personnel pléthorique, la section de fonctionnement du budget dégageait
rarement de l’autofinancement… En effet, c’est l’excédent de la section de
fonctionnement (le bénéfice en quelque sorte…) qui doit financer la section
d’investissement. La politique des communistes était de voter des budgets en
déséquilibre afin d’obliger le Préfet à imposer un équilibre et de pouvoir dire
ensuite : c’est le préfet qui augmente les impôts !!! Bien que cette
méthode soit tombée en désuétude, il semble que Balme, l’ancien maire de Grigny,
l’avait encore utilisée il y a quelques années…
Enfin, il y a
eu d’autres méthodes employées pour alimenter la section d’investissement sans
autofinancement, une méthode que l’on peut qualifier de
« cavalerie », consistant à vendre les « bijoux de famille »,
et, ceci en le vendant quasiment à soi-même ! Ainsi, la commune a vendu
pour de grosses sommes ses logements (Croizat, Jean Cagne etc.) à la CODEGI, la
société d’économie mixte de la ville alimentant ainsi (mais pour l’année de la
vente seulement) la section d’investissement. Rappelons que la CODEGI, présidée
par Martial Passi a suivi cette voie en vendant son
patrimoine de logements sociaux à l’OPAC dans des conditions pas très claires.
Nous ne comprenons pas que l’OPAC, présidée par Mercier, ait suivi dans cette
affaire… Ou plutôt si ! Nous comprenons très bien que l'OPAC a acheté des
logements sociaux à un prix très en dessous du marché.
Quand Vallin a
cédé la place à Passi la commune croulait sous les
dettes…
Période Passi : lorsque Passi
fut élu maire, il lui a été dit qu’il fallait assainir les finances communales.
Passi l’a donc pris au mot et est passé d’un extrême
à l’autre !
En conséquence,
les impôts sont restés très élevés. Par le jeu de transferts de dettes vers la
CCRS (Comité de Communes Rhône-Sud qui ne comprenait que Givors et Grigny) et
le fait qu’il n’a quasiment rien fait en investissement jusqu’à ce jour, Passi a pu dégager un autofinancement suffisant pour
rembourser progressivement les dettes de la commune. Pire même, son équipe
est tellement désorganisée que depuis 2001, il dégage systématiquement un
excédent de 6 millions d’euros dans la section d’investissement, excédent qu’il
reporte d’un compte administratif à l’autre !!!! Or cette somme
correspond exactement à la recette fiscale d’une année de la commune ! Une
véritable gabegie. Passi a tenté de l’expliquer lors
d’un conseil municipal en en donnant la faute aux… services techniques… Depuis
la décision du gouvernement Hollande de baisser les dotations de l’État, cet
excédent a baissé.
De toute façon
réaliser des excédents en surestimant les dépenses et sous-estimant les
recettes est illégal. L’association de défense des contribuables de Givors que
je préside mène actuellement une action sur ce sujet.
Cette équipe
est impuissante : sa fainéantise n’a d’égale que sa propension à passer
son temps à faire de la propagande pour son image au lieu de s’occuper des
affaires de la commune…
La désindustrialisation
L’année 1970
fut une année charnière dans l’histoire de Givors pour bien des raisons. Ce fut
l’année où les grands ensembles d’HLM de la commune furent terminés ou
quasiment terminés : les HLM des Plaines, les tours Maurice Thorez, et
surtout, le quartier des Vernes avec ses 2500 logements !
Aujourd’hui Givors abrite pas moins de trois zones de quartiers
sensibles, regroupant environ 8500 habitants sur les 19500 que compte la
commune.
1970 c’est
aussi l’année qui marque la fin du Givors d’antan : le canal a été comblé
et l’espace foncier ainsi libéré a permis la construction de l’autoroute A47.
Aujourd’hui, on se demande comment Camille Vallin avait pu accepter qu’une
autoroute coupe sa ville en deux. Ce fut donc aussi la fin du
« Bassin » qui servait de jonction entre le canal et le Rhône via une
écluse dont on voit encore l’immeuble de l’éclusier en bordure du port
pétrolier et constituait aussi un port de réparation des bateaux. C’en était
fini depuis longtemps des ports de Givors, la navigation fluviale ayant subi la
concurrence effroyable et foudroyante du chemin de fer. Le croisement à Givors
de la ligne de chemin de fer Givors-Nîmes avec celle de Givors-Saint Étienne
explique pourquoi une si petite ville possède deux gares, celle de Givors-Canal
et celle de Givors-Ville.
Donc nous voilà
traversés aujourd’hui par plusieurs dizaines de milliers de véhicules par jour
grâce à l’autoroute A47.
Ce fut pourtant
avec une grande fierté que mon ami Camille Vallin a participé, en 1970, à
l’inauguration du pont de Givors qui permettait à l’autoroute de traverser le
fleuve. Il a fallu attendre plusieurs années encore pour que ce pont soit relié
avec l’A7 (et plus tard encore l’A46) par un tronçon autoroutier, le passage
par Flévieu fut pour longtemps un calvaire pour les automobilistes venant de
l’A7.
Les années
70 furent aussi les années de la deuxième période de désindustrialisation. La
première période avait vu la restructuration de la sidérurgie avec la
disparition des petits hauts-fourneaux comme ceux de Chasse-sur-Rhône, en face
sur l’autre berge du fleuve et ceux de Prénat à
Givors.
La deuxième
désindustrialisation s’est attaquée à la mécanique : les ateliers de
Fives-Lille (chaudronnerie et mécanique générale), Berthiez
(machine-outil), avec la liquidation beaucoup plus silencieuse des
sous-traitants…
Puis, au début
des années 2000, ce fut la fermeture historique de la verrerie, qui appartenait
alors au groupe VMC. Là, il n’était plus question de restructuration
industrielle, mais de fuite de Givors par des patrons las de la guérilla de la
CGT, soutenue systématiquement par la mairie communiste, guérilla qui finissait
par bloquer le fonctionnement de l’usine.
Il faut noter
le bon revers de la médaille : depuis la fermeture de la centrale
thermique de Loire-sur-Rhône et celle de la verrerie, l’air est devenu plus
respirable à Givors ! Il faut savoir que ces deux usines étaient
responsables d’une épouvantable pollution de l’air. Lorsque j’étais maire
adjoint, notamment à l’écologie urbaine, j’avais demandé à l’organisme de
surveillance de la qualité de l’air de la Communauté Urbaine de Lyon, la
COPARLY, de placer au bord de l’autoroute, sous la cheminée de l’usine VMC, un
appareil de mesure des différents composants de la pollution des cheminées de
la centrale thermique et celle de la verrerie (le dioxyde de soufre) d’une
part, et ceux de la circulation automobile d’autre part (oxydes d’azote et
ozone). Ces mesures ont été faites pendant six mois et j‘ai donc réuni la
preuve de l’importante pollution de la verrerie. D’ailleurs, un des anciens
directeurs de cette usine m’avait confirmé que cette usine brûlait des résidus
lourds de distillation du pétrole extrêmement nocifs. Mais aussi de la
pollution de la circulation automobile de l’autoroute. Là, le problème n’est
pas encore vraiment résolu…
Après la
fermeture de la verrerie VMC en 2003, il fallut développer un projet de
réhabilitation de ces friches avec l’aide de l’EPORA, une institution qui
finance la réhabilitation des friches industrielles. Un bureau d’études
privé avait élaboré un projet de création d’une zone d’activité avec un lien
routier le long des berges du Gier vers la nationale 86.
Mais Passi a piqué ce projet et l’a repris à son compte en
donnant la gestion de cette zone d’activité (dite ZAC VMC) à la société
d’économie mixte de la ville qui s’appelait à l’époque CODEGI, qui est devenue
ensuite Givors développement suite au scandale immobilier de la place de Bans, et
aujourd’hui SAGIM (voir plus loin le rapport de la chambre régionale des
comptes sur cette société d’économie mixte).
Le projet,
avait promis Passi, devait créer 600 emplois ! À
ce jour, aucun emploi n’a vraiment été créé sur ce site qui a seulement
rapatrié des emplois existants sur d’autres sites. Ce fut le projet de pôle
automobile qui a rassemblé sur ce site les concessionnaires éparpillés jusqu’alors
dans d’autres quartiers de la ville. Un point c’est tout !
Le contrat
d’aménagement prévoyait un déficit de 500 000 euros pour ce site, et il en
est actuellement à 5 millions d’euros ! Il devait durer 5 ans, il dure
depuis 12 ans ! Un échec total et complet…
La décadence
des équipes de Passi et de sa gestion n’a jamais
cessé de s’aggraver jusqu’à sa condamnation par le tribunal correctionnel qui
l’a conduit à démissionner de son poste de maire avant que la cour d’appel
qu’il a saisie n’aggrave sans doute sa condamnation. Il a partagé cette
condamnation pénale avec sa sœur Muriel Goux qu’il avait nommée DGS dans des
conditions ubuesques et illégales.
Voir en plus
loin (dans le livre) le résumé de ce feuilleton judiciaire qui a entamé la
lente descente en enfer de la majorité municipale, qui, au lieu de s’extirper
de cette situation, ne fait que s’y enfoncer en votant la protection
fonctionnelle pour faire bénéficier à Passi du
financement par la commune de ses frais de justice ce qui est véritablement écœurant…
Vous pourrez lire en fin de cet ouvrage le jugement complet de la condamnation
du maire et de sa sœur.
Enfin, la
chambre régionale de comptes a enquêté sur la gestion de Passi
entre 2009 et 2015. Ses conclusions sont accablantes ! De nombreuses irrégularités
et malversations ont été dévoilées. Elle a également condamné deux comptables
publics de la commune à rembourser 500 000 euros à la commune dans le
cadre de paiements illégaux d’heures supplémentaires et d’astreintes au
personnel communal.
À l’heure où
j’écris ces lignes, le feuilleton judiciaire de Passi
et de la municipalité n’est pas terminé, puisque la chambre régionale des
comptes a porté plainte contre lui pour des charges de détournements de fonds,
favoritisme et recel. L’enquête préliminaire a été ouverte par le parquet et
des perquisitions ont été menées à la mairie par le parquet national financier
vendredi 2 février 2018. Le CIDEFE, organisme de formation du PCF a été,
semble-t-il, visé par cette perquisition. En effet, la chambre régionale des
comptes avait relevé de graves irrégularités dans les relations entre le maire,
sa première adjointe et le CIDEFE.
D’autre part,
la chambre régionale des comptes a également publié un rapport tout aussi
accablant contre la gestion par Passi de la société
d’économie mixte de la ville de Givors qui s’appelle désormais SAGIM, après
s’être nommée Givors développement, et auparavant CODEGI… et qui s’appelait au
départ SACVIG… Vous pourrez lire plus loin l'analyse qu'en a faite Michelle Palandre au conseil municipal du 5 février 2018.
Dans le domaine
de l’urbanisme également (pourtant crucial pour l’avenir d’une commune) rien de
sérieux n’a jamais été réalisé. Aucune vraie stratégie de développement d’un
urbanisme durable n’a été construite ni soumise aux électeurs. Le
centre-ville est en « restructuration » depuis plus de trente ans (il
a commencé en 1970 avec la rénovation du Vieux Givors)… Le CUCS (Contrat urbain de cohésion sociale)
porte encore aujourd’hui un jugement extrêmement négatif sur ce centre-ville :
« (...) le quartier se caractérise par un déclin alarmant de l'activité
commerciale, la présence d'un nombre important de logements sociaux, une
vacance importante du parc de logements privés très dégradés, une paupérisation
de la population, une délinquance encore présente (le centre reste le quartier
le plus criminogène), et par voie de conséquence un espace urbain peu convivial
et désorganisé ... »[1]
Il y a eu la
construction du quartier des Vernes (fini en 1976) qui fut plus déstructurant
que structurant, qui a désorganisé la commune et accentué la concentration de
misère. Là également la démolition récente de nombreux logements n’est
qu’une confirmation de cet échec urbain… Nous pourrions également développer
sur l’historique de la restructuration de ce quartier…
Le seul projet
urbain un peu stratégique a été celui de Roland Castro en 1988, le projet
« banlieues 89 » (déjà ce titre classait Givors comme une banlieue)
qui n’avait rien de génial, il n’y avait pas besoin de Castro pour comprendre
que la voie structurante de Givors est la nationale 86 qui traverse la ville
dans un axe nord-sud !!!
Quant à Passi, il a poursuivi la liquidation volontaire du
centre-ville par son déplacement vers la gare, projet « urbain »
initié et développé par les services techniques des années 80 et 90 dirigés par
des communistes.
On ne peut pas
faire de social sans développer la création de richesses. Or ce n’est pas
l’opinion de l’équipe actuellement à la mairie. Sous prétexte de solidarité,
ils écrasent d’impôts une petite partie de la population, la moins pauvre de la
commune, pour « aider » les plus pauvres. En fin de compte cette
politique n’a fait que maintenir la majorité des habitants de Givors dans la
pauvreté, avec le départ de toutes les entreprises de Givors. Et ceci n’a pas
été une fatalité ou une quelconque volonté politique des gouvernements
successifs (d’ailleurs plusieurs entreprises ont fermé sous des gouvernements
d’union de la gauche !), mais bien le résultat de la politique des
communistes !
Malgré la
création à Givors d’une antenne de la chambre de commerce et de la chambre des
métiers, la tentative de créer une association de développement regroupant les
élus, les entreprises et les chambres consulaires (l’ADERS dissoute par Passi et Balme), à cause du maintien de la même politique
soi-disant de « solidarité », l’hémorragie a continué…
Il n’est pas
besoin de grands discours pour constater que depuis 1953 la pauvreté n’a cessé
de s’aggraver à Givors, fruit d’une politique financière, économique et urbaine
résumée ci-dessus… Il faut néanmoins insister sur deux points : Passi a abandonné toute gestion de la population en
supprimant la commission logement et en confiant la restructuration du
centre-ville à l’OPAC ; c’est inimaginable de confier une restructuration
de centre-ville à une société HLM ! D’autant plus que le travail de cet
office HLM a été un désastre : il a accumulé un déficit d’un million
d’euros pour pratiquement aucune réalisation. Rappelons-nous que c’est Michel Mercier,
en tant que ministre de l’Agriculture qui a attribué la Légion d’honneur à Passi. Peut-être peut-on comprendre derrière cela (en
ajoutant la vente du patrimoine locatif
de la CODEGI à l’OPAC) les remerciements à Passi
de Michel Mercier, président du conseil général et président de l’OPAC.
Alain
Pelosato
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Lecture
gratuite sur écran : https://fr.calameo.com/books/000811325c9ff9349e455
[1] Ce document est signé par le Préfet, les sociétés d'HLM, le
directeur de la Mission locale, le Grand Lyon, le Conseil général et la Caisse d'allocations
familiales... Il est soumis au conseil municipal en sa séance du 25 juin 2007