Le journal Le
Progrès
m’a manqué de respect
Je mets à votre disposition ci-dessous
le courrier électronique que j’ai envoyé à la rédaction du Progrès suite à la
parution dans les colonnes de ce “journal” d’un article irrespectueux à mon
égard à propos de mon communiqué de presse annonçant ma requête en appel au
Conseil d’Etat.
Mon communiqué est publié dans son
intégralité sur ce site en haut de la page d’accueil.
Messieurs,
Je suis une fois
de plus consterné de la manière dont vous avez traité mon communiqué sur ma
requête en appel au Conseil d'Etat.
En effet dans la
rubrique chiens écrasés intitulée "de quoi j'me mêle" vous
écrivez à propos de ce communiqué sur ma requête au conseil d'Etat :
et :
"le conditionnel
aurait été plus approSSprié..." (sic)
On se demande d'abord
ce que font les "SS" au milieu du mot.
Ensuite vous confondez le métier de journaliste et celui
de maître d'école qui corrige une copie. Si vous étiez maître d'école vous
en seriez un de très mauvais car sachez que lorsqu'on rédige des textes
adressés à la justice, on n'utilise jamais le conditionnel, c'est une règle de
l'art des textes judiciaires ! Comment peut-on (sauf manque de respect envers
la justice) saisir le juge au conditionnel, ce qui supposerait qu'on n'est
pas sûr de la justesse de ce qu'on demande ?
Je note également,
qu'une fois de plus, vous écrivez "Pélosato" sans aucun signe
de politesse, ni "monsieur" ni en indiquant mon prénom. Je ne peux
prendre cela autrement que comme du mépris. Ce qui est coutumier de votre part.
En effet, vous l'aviez déjà fait dans un article précédent qui
titrait "Pélosato ne fera pas revoter les Givordins", titre
déjà très persifleur.
Je dois également vous
rappeler qu'il convient, également par respect le plus élémentaire, de ne pas
faire de faute dans les patronymes. Sachez que mon nom ne comporte pas d'accent
et s'écrit Pelosato...
Je passe sur le terme
"non qualifié" (alors que "non élu" aurait été plus
juste) que vous utilisez à mon égard dès le début de votre "article"
ce qui donne immédiatement le ton.
Ces méthodes me
rappellent hélas de très mauvais souvenirs du passé peu glorieux d'une certaine
presse...
Vous allez même
jusqu'à travestir la réalité en écrivant que le tribunal administratif avait
"validé" les élections municipales... Il n'a rien validé du
tout, car personne ne lui demandait de les valider ce n'était pas l'objet ! Il
n'a simplement pas annulé ces élections... Est-il trop difficile d'écrire les
choses telles qu'elles sont ? Je sais que la maîtrise de la langue française
n'est pas facile.
Je vous prie de bien
comprendre que je suis las de vos méthodes.
En effet, je constate
qu'à chaque fois que je vous envoie une information, vous vous arrangez pour la
détourner dans un sens négatif à mon égard.
Alain Pelosato
Givors,
le 24 octobre 2008.