Camille Vallin est mort.
Longtemps nous fûmes de grands amis très proches.
La vie nous a fait suivre des chemins différents.
Je ne regrette rien ni du passé commun avec Camille,
ni de mon engagement d’aujourd’hui.
Je présente mes plus sincères condoléances à toute
sa famille, à tous ses amis.
Malgré les oppositions de ces dernières années, je
garderai en mémoire le Camille qui fut mon ami…
Alain Pelosato
Givors, le 10 août 2009